Vous lisez quoi en ce moment?

Citation :

Le conservateur du Louvre est retrouvé assassiné au beau milieu de son musée dans une position singulière. Entièrement nu, bras et jambes écartés et entourés de pictogrammes étranges, le cadavre évoque L'Homme de Vitruve, le célèbre dessin de Léonard de Vinci. L'enquête révèle rapidement que cette mise en scène n'est pas le fait de l'assassin mais qu'elle a été voulue dans un dernier sursaut par la victime elle-même, qui cherche par ce moyen à transmettre un message.

Je suis pas un lecteur mais de nombreux amis a moi ce sont plongé dans ce livre qui est génial....d'aprés mes amis

Une sortie en film est prévue....pour les gens comme moi qui sont pas fans de lecture

Puis-je me permettre une critique... constructive (je précise :prif: ) ?

Je trouve ce topic très intéressant par son thème mais décevant par son contenu...

Eh oui, je prends un exemple parmi tant d'autres... On apprend qu'Erinn a lu " Sans l'ombre d'un témoin ". Je me dis :p2: il se trouve que par le plus grand des hasards, c'est justement le livre que je suis en train de lire... Alors je lis ce qu'elle écrit sur le livre... eh là elle recopie le résumé sur la jaquette! Honnêtement, quel est l'intérêt de ce topic si c'est pour lire ce que pouvez déjà lire en regardant n'importe quel livre avant de l'acheter ?

Ce qui m'aurait vraiment intéressé, et là, j'avoue que je suis un peu frustré, en tout cas je suis un peu resté sur ma faim... c'est de savoir ce qu'Erinn a pensé de " Sans l'ombre d'un témoin "... ça aurait été un peu plus sympa qu'elle se mouille et qu'elle donne son avis sur le livre.. Qu'elle nous dise s'il est valable, ou s'il vaut l'investissement de 20 euros ?

Oui jcomprends cque tu veux dire Peter,c'est juste que jsuis pas trés douée pour exprimer des critiques.

Jpeux juste te dire que "sans l'ombre d'un témoin" j'ai bcp aimé mais jm'y attendais vu que j'aime toute l'oeuvre de Miss George :)

alors mike horn, c'est le genre de gars qu'il ne faut pas inviter à une soirée où on veut séduire une jeune fille.

Ce charmant monsieur est coutumier des plus grands exploits : descente de l'amazone à la nage, tour du monde sur l'équateur... et là, 20 000 km autour du cercle polaire à la force de ses muscles !!!

Voilà, ce n'est pas de la grande littérature, certes, mais d'un point de vue vision du monde et philosophie de vie, on fait difficilement mieux...

Quand on voit qu'il perd quelques morceaux de doigts les premiers jours de l'expédition et qu'il continue, on se demande comment il va finir :lol:

Merci Erinn pour ta réponse. Tu me confortes donc dans cette lecture!

Pour répondre au topic, je suis donc en train de lire Sans l'ombre d'un témoin de Miss Georges (c'est le premier roman que je lis d'elle).

J'ai lu récemment :

- Le sang du temps de Chattam (pas mal. ce roman évoque également un serial Killer qui dans le Caire des années 20 prend pour cible des enfants issus des quartiers pauvres. Ce roman est à cheval entre le présent où l'héroïne découvre à proximité du Mont St Michel un journal intime qui relate cette histoire et le passé à travers l'Egypte coloniale des années 20 où le sptectre de la Goule, ce démon féminin issu des mille et une nuit, resurgit! L'auteur utilise un procédé exceptionnel pour mystifier le lecteur, celui-là même qu'avait employer la Reine du crime, Agatha Christie, dans le meurtre de Roger Ackroyd. Mais là je vous en ai trop dit!)

- Vous revoir de Marc Lévy. Ce roman n'est pas désagréalbe à lire. Il s'agit de la suite de " Et si c'était vrai " qui va bientôt être adapté au cinéma avec Drew Barrymore si je ne m'abuse. Le premier roman était génial et plein d'originalité. La suite, il faut être honnête, ne vaut guère mieux qu'un roman à l'eau de rose qui aurait la particularité d'être un peu mieux écrit que les autres, et truffé d'humour! J'ai quand même passé un bon moment à le lire!

- La règle de quatre de Caldwell et Thomason : je me suis ennuyé en le lisant. Ce roman relate le travail de quatre étudiants à Princeton pour essayer de déchiffrer un roman ésotérique et mystérieux publié à la renaissance. Ce roman n'a pas d'auteur, et constituerait à lui tout seul une véritable carte au trésor pour celui qui saurait déchiffrer les énigmes qu'il renferme! J'ai trouvé pompeux le bandeau sur le livre : " Si Dan Brown, Umberto Eco et Francis Scott Fitzgerald s'étaient rencontrés, ils auraient écrit la règle de quatre." Personnellement, cette lecture ne m'a pas emballé. Il s'agit d'un livre laborieux émaillé de quelques rares passages qui frôlent néanmoins le génie!

- Anges et démons de Dan Brown : j'ai été agréablement surpris de lire un livre dans la même veine que le DA VINCI CODE. Bon c'est vrai que l'histoire est vraiment tirée par les cheveux et on a souvent du mal à y croire! Mais je me suis laissé prendre au piège de ce livre qui m'a vraiment passionné et qui illustre à sa manière le conflit entre Dieu et la Science! Dan Brown s'interroge dans son premier roman et se demande si la Science et la religion n'étaient pas les deux aspects d'une même réalité ? Et si la Science et la religion étaient le côté pile et le côté face de la même pièce ?


[/i]

J'ai fini de lire Sans l'ombre d'un témoin d'Elisabeth George aujourd'hui.

C'est un pavé de 600 pages qui relate une enquête menée par les deux personnages qu'on doit retrouver dans chacun de ses romans. Le commissaire intérimaire Thomas Linley et ses manières très aristocratiques associé à Barbara Havers qui représente un Londres beaucoup plus populaire.

Ils doivent retrouver la trace d'un serial Killer qui s'attaque à de jeunes adolescents le plus souvent métis. Il les exécute selon un rituel récurrent.

C'est un roman qui tient la route. Au delà de l'enquête, on s'attache aux personnages mis en scène par Elisabeth George. Je serai curieux, lors d'un prochain roman de savoir ce que devient le commissaire Linley... Va-t-il remonter la pente ?

Citation :

Amazon.fr
Abandonné par le seul grand amour de sa vie (ainsi en a-t-il décidé !), le professeur de linguistique Matthew H. Chippering ne peut s'empêcher de persécuter son ex-femme et son nouvel amant. Il est ainsi persuadé que cette dernière a toujours entretenu des relations incestueuses avec son frère Herbie. Le sexe tient une telle place dans la vie du professeur qu'il le transpose dans tous ses délires, ses fantasmes et ses peurs. Il est un peu misogyne, un peu macho, mais surtout irrésistiblement attiré par les femmes. Il est comme un chat dans un jeu de quilles. Un pauvre matou, amoureux fou, égocentrique et manipulateur qui se débat comme il peut dans une Amérique dopée au féminisme et en proie au puritanisme.
Avec ce roman, conte moderne d'un séducteur égaré, Tim O'Brien revisite à sa manière les rapports hommes-femmes. Choquant parfois, émouvant ou drôle, l'auteur traite de la guerre des sexes avec le même recul engagé qu'il a appliqué à ses écrits sur la guerre tout court. Tim O'Brien, né en 1947 à Austin (Minnesota), a connu les horreurs de la guerre du Vietnam. À son retour, il choisit l'écriture et reçoit en 1979 le National Book Award pour son livre À la poursuite de Cacciato. Il est aujourd'hui considéré comme l'un des écrivains les plus significatifs de la génération du Vietnam. --Stellio Paris

C'est le premier roman que je lis de Harlan Coben. C'est la curiosité qui m'a poussé à le lire et puis par le biais du bouche à oreille plusieurs personnes m'en avaient parlé.

C'est vrai que le maître de nos nuits blanches c'est lui! Il a un talent indéniable pour raconter une histoire qui se déroule à un rythme tambour battant. Ce que j'apprécie chez cet auteur, c'est sa manière en quelques lignes de donner une dimension humaine à chacun de ses personnages. Un tantinet déçu par le dénouement où j'attendais de grandes révélations... Et il y en a eu évidemment! Mais l'auteur atteint vraiment son objectif en nous tenant en haleine jusqu'à la fin.

Ce roman relate l'histoire d'une femme qui en allant chercher le développement de ses dernières photo va faire une découverte complètement incongrue... Parmi son tirage de photos s'est mêlé une photo qui a été prise il y a quinze ans. Elle représente un groupe composé de deux hommes et de trois femmes. Une femme blonde a été barrée au feutre. Elle regarde intensément un des deux hommes qui ressemble étrangement à son mari... Et si un seul regard, posé sur une simple photo remettait en cause toute son existence et dénonçait la supercherie dans laquelle elle vivait jusque là ?

En montrant cette photo à son mari, elle va susciter des réactions en chaînes complètement inattendues... Son mari disparaît dans la nature, un mystérieux tueur sévit dans son voisinage, etc..

J'ai fini de lire Acide sulfurique le dernier roman d'Amélie Nothomb.

C'est un livre assez controversé car la critique reproche à la jeune écrivain d'avoir banalisé l'horreur des camps de concentration dans le seul but de stigmatiser la télé-réalité.

Ce roman a pour incipit la phrase suivante : " Vint le moment où la souffrance des autres ne leur suffit plus : il leur en fallut le spectacle. "

Une chaîne de télévision a donc l'idée de mettre en scène à l'écran un nouveau concept de téléréalité, " CONCENTRATION " qui montre au spectateur comment des hommes et des femmes qu'on ne connaît qu'à travers leur matricule sont soumis à des Kapos!

Comme dans tous les autres romans d'Amélie Nothomb que j'ai lu (" Stupeurs et tremblements ", " Antéchrista ", " Cosmétique de l'ennemi ") on retrouve un de ses thèmes récurrents : la fameuse dialectique du maître et de l'esclave. Cet écrivain est géniale car elle a compris que l'essence des rapports entre les hommes n'est pas la communauté mais le conflit. On retrouve donc la même relation ambivalente entre deux personnages mêlée de mépris, de haine, d'amour et surtout de désir de reconnaissance... En l'occurrence le Kapo Zdena est subjugué par le charme et le charisme de la prisonnière Panonnique...

Dans un premier temps, les Kapos ont pour mission d'envoyer à la mort chaque jour deux candidats qu'ils jugent trop faibles pour continuer de travailler. Mais afin de rendre cette émission encore plus interactive, et dans le but d'augmenter l'audimat, les organisateurs décident de faire voter le public.... Les téléspectateurs deviennent ainsi les bourreaux qui désignent quels candidats ont doit éliminer.

Personnellement, j'ai bien aimé ce roman car il est écrit dans le même style limpide qu'on connaît à son auteur. Son histoire est courte mais très enrichissante au niveau de la réflexion.

Je vais maintenant pouvoir m'attaquer au dernier roman d'un auteur que j'aime beaucoup : Michel HOUELLEBECK... La possibilité d'une île!

Est-il utile de mettre le résumé?....

37°2 le matin, c'est peut-être le seul bon film que Jean-Jacques Beineix a réalisé avec le duo d'enfer composé de Béatrice Dalle (que PPDA comparait à l'époque à la nouvelle Brigitte Bardot :mdr1: ) et Jean-Hugues Anglade.

Par contre je n'ai jamais lu de romans de Djian mis à part l'adaptation qui a été faite de 37°2 du matin au cinéma! Je sais qu'il a écrit des chansons pour Stephan Eisher dont certaines figurent sur l'album Carcassonne. Le moins qu'on puisse dire, c'est que comme la plupart des écrivains, Djian ne déroge pas à la rège : il est très peu télégénique... Il est à peine plus télégénique que Michel Houellebecq mais dans le cas de ce dernier, c'est une autre histoire. Car je le soupçonne de faire exprès d'être aussi amorphe devant les écrans de télévision par pur esprit de provocation.

Quand à son dernier roman que j'ai lu, j'avoue que j'ai été un petit peu déçu. Il paraît que " La possiblité d'une île " est le futur prix goncourt...

Pour vous planter le décor il faut imaginer pour ceux qui l'ont lu " Le meilleur des mondes " revu et corrigé par Michel Houellebecq... Et vous aurez une idée assez juste de ce à quoi ressemble " La possibilité d'une île ". Il décrit l'évolution de l'homme dans une société où les êtres humains se seraient affranchis de l'amour... Ainsi, ils n'auraient plus besoin d'avoir des relations sexuelles pour se reproduire...Un peu comme dans le roman d'Aldous Huxley.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que le dernier roman de Michel Houellebecq est un brin provocateur du fait de son anti-humanisme affiché.

De plus, l'auteur a une telle liberté de langage qui ne peut que choquer... Par exemple lorsqu'il emploie des mots crus pour exprimer les désirs sexuels de son héros : Daniel. Daniel, est le prophète de cette société nouvelle que Houellebecq anticipe...A l'instar du Zarathoustra de Nietzche qui annonnçait " Dieu est mort! " Daniel nous dit : " L'amour est mort! ". Le roman relate le récit de sa vie et son rapprochement avec une secte qui n'est en fait que la plaque-tournante qui permet à un grand scientifique de drainer des sommes d'argent collossales afin de poursuivre ses recherches... Il rêve d'une société dans laquelle l'homme aurait vaincu la mort... Pour satisfaire son rêve d'immortalité il s'intéresse au clonage et aux méthodes de reproduction du code génétique de l'homme. Il essaie de mettre au point une méthode qui entérinerait le triomphe des jeunes dans notre société en créant des hommes directement à l'âge adulte, c'est à dire en sautant l'étape où on nait qui est celle qui précède l'enfance!

Les références à une secte et au clonage interpellent forcément le lecteur par l'écho qu'elles ont dans l'actualité. Personnellement je n'étais pas insensible au message que contenait le dernier roman de Houellebeq qui annonçait en 2001 les terribles évènements du 11 Septembre. Il suffit de relire les pages de Plateforme pour se rendre compte à quel point l'auteur a eu la vision prémonitoire d'un choc des civilisatiion inéluctable à travers son roman qui se termine en Thaïlande dans un bain de sang suite à un attentat terroriste!

Néanmoins, même si je respecte l'auteur de plateforme, je me suis souvent ennuyé en lisant " La possibilté d'une île "même si j'y ai retrouvé la puissance d'écriture de l'auteur! Qu'on le veuille ou non il y a une puissance d'écriture et une sensibilité qui donnent tout leur charme à Houellebecq. On devine qu'un auteur comme Beigbeder essaie de les imiter mais avec beacoup moins de succès!

T'as pas lu Djian ralala tu rates qqch...Si tu le lis lis les anciens pasque les derniers n'ont rien à voir ;)

L'on m'a prêter 3 livres
Les guerriers du silence
Terra Mater
La citadelle Hyponéros

ils font les 3 env. 650 pages.

Le premier se déroule en une semaine ... 636 pages ... j'en pouvais plus, 1 chapitre pour un bout d'histoire avec un perso ou 2.

le deuxième se passe 16 après, on reprend les mêmes et on rajoute des persos. La durée est plus longue, se qui rend le livre plus digeste. Et on en sais plus sur l'intrigue

Le troisième, je suis entrain de le finir. Il se passe 3 ans après. L'intrigue se précise, et j'ai maintenant bien en tête les persos.

Conclusion : ils sont super, mais il faut les lire les 3 en suivant, sinon on s'y perd car l'histoire est des plus complexe.

J'ai acheté et lu aujourd'hui le 6ème tome d'harry potter ....

C'est le meilleures des 6 pour l'instant !

L'histoire est la mieux ficelée, plus adulte, repondissante, dramatique, inatendue, on arrive pas a décrocher.

Je ne vous en dirais pas plus, pour ne pas gâcher le plaisir d'une future lecture. :D

J'ai vraiment adoré, l'histoire ne tire pas en longueurs comme avec les 2 derniers, il n'y a pas la furstations devant la fin du 5ème.

Il faut que j'aille parler à J.K. Rowling, qu'elle publie en vitesse le prochain.

A la fin une idée, un pressentiment m'est venu...J'ai l'impression que la saga HP ne se terminera pas en 7 tomes. Ou alors le livre persera le double du 5ème (1kg).

Un conseil, lisez-le

J'ai abandonné les 2 derniers j'avais l'esprit trop préoccupé pour pouvoir me concentrer sur quoi que ce soit...Jfais un nouvel essai et j'attaque:

Citation :

Lorsque s'achève le premier tome de "Doggy bag", roman tryptique, cruel et drôle de Philippe Djian, l'issue de l'histoire reste en suspens, comme lorsque s'achève une saison d'une série télé ! Parce qu'il sait comme personne raconter l'histoire de cette famille décadente, on ne peut que devenir " accroc " à la dernière innovation de l'auteur phare, le plus américain de la littérature française. Il nous attache malgré nous à un groupe d'individus aussi ordinaires que détraqués dont le destin deviendra bientôt aussi important que le nôtre...

Euh...j'ai bien aimé,j'attends la suite

Citation :

Présentation de l'éditeur
L'arrivée tonitruante d'une nouvelle voix dans la littérature américaine ; un auteur d'ores et déjà comparé à John Irving et à Jonathan Franzen. Un roman-fleuve, épique et picaresque, porté par une écriture lumineuse, poétique et subtile. En Afrique du Sud, dans les années 50, Howard rencontre Julia, lui est chercheur dans les valves, elle est peintre sur un pont. Très vite, ils se marient ; très vite, elle est enceinte. Le destin des Lament est en marche. Suite à une série d'aventures rocambolesques, les jeunes parents perdent leur bébé. Mais en gagnent un autre : Will, orphelin au cœur fragile, farouchement attaché à la vie et à ses nouveaux parents. La famille s'agrandit avec l'arrivée de jumeaux. Et, parce que " les Lament voyagent ", comme se plaît à le répéter Howard, toute la maisonnée part à l'aventure, rêvant de paysages somptueux et de découvertes éblouissantes. De la Rhodésie au New Jersey en passant par l'Angleterre ; de l'insouciance de l'après-guerre à l'explosion des années 70 ; de rencontres en fâcheries, d'espérances en désenchantements, d'histoires d'amour en drames, les Lament voyagent encore et toujours, en quête d'un endroit où ils auraient enfin leur place.

Lestat le vampire d'Anne Rice

Comment ça ça fait trois plombs que je suis dessus...? En même temps, j'ai du mal à le lire... :peureux:

Bah oui ctassez ardu Anne Rice .J'en ai lu qqs uns dont Lestat pis j'en ai eu marre.

lol
J'essaie de persister quand même... Vais bien finir par le lire celui là ^^

Citation :

Présentation de l'éditeur
– Nathan, regardez le garçon à l’anorak orange
Bon sang, Garrett, pourquoi voulez-vous que je le regarde ?
Parce qu’il va mourir
Moins d’une minute plus tard, l’adolescent se tire une balle dans la tête. Et c’est ainsi que Nathan Del Amico, brillant avocat new-yorkais, découvre l’étrange pouvoir de Garrett Goodrich. Qui est ce Garrett Goodrich ? Un cancérologue chevronné, directeur d’un important centre de soins palliatifs. Il n’a rien d’un illuminé et pourtant il se dit capable de prévoir la mort. Il prétend avoir une “ mission ” : accompagner ceux qui vont mourir jusqu’aux frontières de l’Autre Monde pour qu’ils quittent la vie en paix avec eux-mêmes. Très ébranlé, Nathan comprend que Garrett est entré en contact avec lui pour le préparer à mourir. Mais il est bien incapable d’imaginer ce que la rencontre avec cet homme va déclencher dans sa vie, et dans celle de ceux qu’il aime. Nous assistons avec ce roman à la naissance d’un style Musso où l’on retrouverait l’émotion d’un Marc Lévy, la mise en scène d’une Patricia Cornwell, et une intrigue aux rebondissements très Sixième Sens.

Citation :

Présentation de l'éditeur
Du Cap-Breton début de siècle jusqu'au New York des années Jazz, Un parfum de cèdre nous fait partager le destin mouvementé de James Piper et de ses quatre filles. Kathleen, l'aînée, développe en grandissant une voix exceptionnelle. Son père lui voue une adoration sans bornes et veut faire d'elle une
cantatrice célèbre. Mais le destin de la famille semble marqué par le drame. Et l'admiration de devenir obsession...
Les nuances du langage et la subtilité d'Ann-Marie MacDonald dépeignent parfaitement l'époque et les mœurs rigides qui entourent le plus lourd et le plus terrible des secrets de famille. Best-seller littéraire, Un parfum de cèdre a séduit dix-sept pays et a valu à son auteur de nombreuses récompenses prestigieuses parmi lesquelles le Prix du Commonwealth du premier roman.

Et en alternance:

Citation :

Quatrième de couverture
'J'ai 32 ans et je commence seulement ma vie...` C'est par ces mots que Guillaume Depardieu ouvre ce livre de témoignages riches et sincères sur une existence faite d'errances, d'excès et de violences de toutes sortes : drogue, prison, prostitution, accident, maladie et, finalement, amputation... Une vie très tôt dominée par la figure paternelle, avec la difficulté d'être un "fils de", l'énorme paranoïa que cela développe, la solitude, l'ennui, et enfin la révolte. Révolte contre l'égoïsme de son père, qu'il accuse de ne l'avoir jamais aidé; révolte contre sa famille qu'il a vue se déchirer dans le mensonge et les infidélités paternelles ; révolte contre la société qu'il accuse de ne l'avoir jamais compris; révolte contre lui même: Guillaume l'avoue, il ne s'est jamais vraiment aimé...
Entier et intransigeant, Guillaume se raconte et assume entièrement sa vie passée comme ce qu'il est aujourd'hui, mais s'effondre parfois, avouant sa légitimité introuvable dans le domaine du cinéma, sa lâcheté et ses promesses jamais tenues.
Outre la rencontre d'une personnalité sans cesse en prise directe sur le monde environnant, on découvre un artiste véritable qui jette un regard particulier sur le métier de comédien et la musique, depuis toujours son art de prédilection, en même temps qu'un homme cultivé, spirituel, déroutant, dont la parole oscille sans cesse entre violence verbale, humour et poésie véritable. L'occasion enfin de voir le cheminement d'un révolté devenu père, qui au milieu des pires moments de ses dernières années, a toujours surmonté un profond mal de vivre grâce à son amour pour Louise, sa fille.
Bref, c'est l'occasion de comprendre une personnalité atypique et secrète que seul quelqu'un de la trempe de Marc-Olivier Fogiel pouvait mettre en face de ses contradictions pour en faire ressortir le caractère immensément attachant...

Je lis le forum du bistrot préféré entre potes

Citation :

Présentation de l'éditeur
Prof d'anglais par dépit, cinéphile romantique et rêveur endurci, c'est contraint et forcé que Will Kelly a opté pour le célibat trois ans auparavant. En se remémorant ce triste jour où la belle Aggi - l'amour de sa vie - l'a brutalement laissé choir comme une vieille chaussette, Will ne cesse de broyer du noir dans son appartement miteux du nord de Londres. C'est ici, au cœur d'un petit monde régi par la dure loi du linge sale entassé et des cendriers pleins, que Will, incapable de se faire cuire des pâtes sans déclencher la troisième guerre mondiale, a
décidé de fêter seul ses vingt-six ans. Sa bouée de sauvetage ? Son précieux téléphone. Lien magique grâce auquel il croise le chemin de Katie, la charmante inconnue du bout du fil...