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Doug Willis (marié, deux enfants) possède une maison de campagne au nord de New York, à Preston Falls. Sous prétexte d'effectuer des travaux, il s'y installe, seul. Tel est le point de départ de cet étonnant roman " existentiel ", portrait d'un anti-héros et récit d'un naufrage conjugal. Mais le plus surprenant tient au rôle joué par Jean, la femme de Willis. Lorsque ce dernier disparaît, c'est une tout autre histoire qui apparaît, complexe, nuancée, douloureuse. " Preston Falls représente ce que la littérature américaine, en prise directe avec la réalité d'aujourd'hui, peut faire de mieux : écrire sans jamais les amoindrir, les perditions sociales " Marie-Laure Delorme, Le journal du Dimanche. " Aigu, tranchant, souvent très drôle, ce roman fait entendre les silences les plus enfouis. " Michel Abescat, Télérama.

Résumé du livre :

Trois siècles après le triomphe des "Lumières", et un siècle après la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat, le politique et le religieux sont encore inextricablement mêlés dans nos sociétés prétendument laïques et démocratiques. A cela s'ajoute le spectacle du monde comme il va - des évangélistes néo-conservateurs aux fanatiques du Djihad. Partout, observe Michel Onfray, Dieu, jadis chassé par la porte revient par la fenêtre. D'où cet essai, savant et polémique, conceptuel et sensuel, où le philosophe anti-platonicien qu'est Michel Onfray tente de pointer, de dénoncer, de dépasser, cette "haine des corps" qui, semble-t-il, gît secrètement derrière le retour généralisé du divin, et du "désir de salut", dans nos sociétés.

" Avec Le Sang du Renard, Minette Walters est au sommet de son assurance et de son talent. ", The Times. Par une glaciale nuit d'hiver, Ailsa Jolly-Renard est retrouvée morte sur sa terrasse, à moitié nue. Mort naturelle, conclut le Coroner. Ce n'est pas l'avis de certaines habitantes de Shenstead, petit village du Dorset, persuadées que son mari, le colonel Jolly-Renard, l'a assassinée. A l'origine de ces rumeurs, un sombre secret de famille... Le plus troublant : le Colonel semble déterminé à ne pas se défendre. Pourquoi, s'il est innocent ? Dans la meilleure tradition du roman policier anglais, une intrigue subtile qui explore les recoins les plus obscurs de l'âme humaine, une rare acuité psychologique, un suspense implacable.



J'ai fini l'autre jvais attaquer lui!! :p2: Jconnais l'auteur donc pas de surprise :fum1:

RESUME : Ces nouvelles, fables ou contes racontent les aventures étranges et mystérieuses de personnages multiples (bergers, artistes ou aventuriers) en Egypte.

ARGUMENTAIRE :

Après ses épopées romanesques comme Ramsès, La Pierre de Lumière ou Les Mystères d'Osiris, Christian Jacq nous offre ici, pour la première fois, un éventail d'aventures étranges et mystérieuses. Fables poétiques, contes satiriques ou histoires à suspense, ces nouvelles ont toutes en commun un don fulgurant du raccourci, l'extraordinaire connaissance de l'auteur pour l'Égypte ancienne et pour l'Égypte d'aujourd'hui, et enfin ce goût pour l'étrange qui côtoie le réel de nos existences.

Et qu'ils soient bergers ou puissants, artistes ou aventuriers, les héros de ces récits nous entraînent avec bonheur dans une dépaysante et séduisante rêverie, nous invitant, par-delà le temps et l'espace, à réfléchir au sens de nos vies...

Mon avis : Ce n'est pas aussi captivant que ce qu'il écrit habituellement, mais c'est très sympathique. Et étant une inconditionnelle de Christian Jacques, pour moi c'est toujours bien.

Encore quelques pages du précédent et je m'aère les meninges avec Borges.Un recueil de dix-sept contes d'un genre fantastique.

Une colline : superbe, couverte de maisons de luxe, et habitée par des gens aussi connus que discrets.

Un drame : Lisa, la fille de Richard un ex-écrivain en vogue et de Laure, actrice en plein come-back, est retrouvée noyée dans le lac après une soirée pas très claire. Evy, leur fils, quatorze ans, mutique et énigmatique - grand consommateur de substances illicites - est le suspect idéal.

N'importe où ailleurs, les choses seraient vites réglées. Sur la colline, royaume de l'apparence, les façades cachent d'invraisemblables malentendus. Richard et Laure veulent retrouver le contact avec leur fils ; ils s'en éloignent de plus en plus. Le père de Richard, en grand-père compréhensif, débarque de New York pour réconcilier la famille ; tout le monde le déteste. Anaïs une des amies de Lisa veut s'accaparer Evy ; elle se fait doubler par Gaby Gurlitch.

Car attention, qui se penche trop sur un garçon aussi étrange qu'Evy, se prend les pieds dans sa propre histoire.

Après un détour par la forme brève qui avait abouti au superbe Frictions, Philippe Djian revient au roman avec Impuretés, avec une force nouvelle, une précision et invention narrative plus personnelle que jamais.

le pavet ministériel concernant les Ecoles Doctorales :beurk:

Ce recueil de nouvelles noires et désespérées est la première parution de l'auteur qui, déjà âgé et marqué par la vie, jette un regard noir sur les bas-fonds de sa ville natale, New York.

Mot de l'éditeur
1962. Les MacCarthy rentrent au pays et s'installent à Centralia, au sud de l'Ontario. Ils forment une famille exemplaire. Jack, le père, est officier de carrière et Mimi, la mère, une femme resplendissante. Madeleine, huit ans, croit encore que l'école est un des endroits les plus sûrs qui soient. Mike, douze ans, est le héros de sa petite soeur.Mais la vie à la base militaire ne tardera pas à faire craquer ce vernis. Un meurtre inconcevable secoue la communauté. Jack se trouve confronté à un dilemme moral insurmontable: au nom des intérêts de son pays en pleine guerre froide, doit-il protéger un criminel de guerre et laisser enfermer un innocent? Quant à Madeleine, peut-elle mentir pour faire éclater la vérité?La lumière ne se fera que plus tard, beaucoup plus tard, lorsque cette dernière, jeune femme brisée et indomptable, ira enfin jusqu'au fond des choses. En attendant, seuls les corbeaux ont vu le meurtre.Ann-Marie MacDonald signe ici une oeuvre romanesque magistrale, puissante méditation sur la perte de l'innocence, au niveau le plus intime comme à l'échelle d'un pays tout entier.«Brillant. Un regard férocement intelligent [...] à ne pas manquer.»Washington Post«Un roman riche et prenant.»The Bookseller«Remarquable. [...] Un conte captivant, dérangeant.»Chicago TribuneTraduit de l'anglais par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

Aïe, mes Aïeux ! de Anne Ancelin Schütenberger.



(traite des liens transgénérationnels et de toute la psychothérapie qui en découle)

En alternance avec l'autre:



Mot de l'éditeur
« Elle nous sauve parfois la vie. Mais elle peut aussi nous la gâcher. Elle nous fait trembler, pleurer, reculer. Elle nous contraint à de multiples renoncements. Elle nous frappe tous. Elle est un handicap pour la moitié d’entre nous. Et elle vole sa liberté à une personne sur dix.
Qui est-elle ?
La peur... »

Voici un livre de référence qui vous fait comprendre pourquoi les mécanismes de nos peurs peuvent parfois se dérégler, et comment notre cerveau émotionnel prend alors le pouvoir. Au travers de récits étonnants, parfois bouleversants, l’un des meilleurs spécialistes français des peurs et phobies vous entraîne avec lui dans ses séances de thérapie. À partir de son expérience de médecin et de psychothérapeute, il vous explique comment guérir durablement de vos peurs.

Je vais relire des passages de "La vengeance de la pelouse" de Brautigan, elle m'a alléché avec ses extraits, Erinn.

:bis3:

Le docteur Kay Scarpetta s’est installée en Floride. Elle a quitté la médecine légale institutionnelle pour l’expertise privée. Pourtant, elle va devoir revenir dans cette ville de Richmond qui lui a tourné le dos cinq ans plus tôt.

Sur place, des surprises désagréables l’attendent. La démolition de ses anciens bureaux est presque achevée ; le médecin-légiste expert qui lui a succédé est un parfait incompétent ; son ancien assistant en chef est plongé dans des problèmes personnels qu’il refuse d’aborder.

Privée de l’assistance de Wesley et de sa nièce Lucy, Scarpetta doit se résoudre à élucider les causes du décès d’une adolescente de 14 ans. Elle doit démêler l’écheveau des pistes, traquer des signes suspects afin de révéler une vérité qu’elle ne parviendra peut-être pas à tolérer.

Le sommet des dieux - Taniguchi

Citation :

Rares sont les aventures en montagne racontées en BD. Si la littérature contemporaine regorge de récits épiques (souvent autobiographiques) de Frison Roche à Jon Krakauer, la BD a délaissé ce style, probablement en raison de la complexité à dessiner la montagne. Mais au final, on ne s'étonne pas que la tâche ait été acceptée par un dessinateur japonais, nation passée maître dans les scènes contemplatives. Et on s'étonnera encore moins Jirô Taniguchi soit l'auteur de cet ouvrage, lui qui est capable de faire un album complet sur un « homme qui marche ».

Mais, rien n'est dû au hasard. Se faisant probablement la même réflexion au sujet des prédispositions de Taniguchi, c'est Baku Yumemakura, l'auteur original du roman à succès «Kamigami no Itadaki » (Le sommet des dieux), qui est entré en contact avec le mangaka pour lui proposer l’adaptation de son roman.

En général je trouve les mangas laids et sans intérêt mais là, loin de "Dragon Ball" on touche au sublime, texte et image.

Citation :

Ici, le narrateur s’appelle Nick et ressemble comme deux gouttes d’eau à l’auteur du livre (Nick Tosches, fils de prolos du New Jersey né en 1949 qui aime autant la musique populaire que La Divine Comédie ; Nick Tosches, encore, écrivain autodidacte qui a appris tout seul, dit une légende qu’il n’a pas peu contribué à alimenter, le latin, le grec et l’italien médiéval).

L’histoire en deux mots : un jour, Nick dégote les originaux du livre infernal de Dante. Grâce à qui ? Mais à la Mafia évidemment ! Il entreprend alors de mener une double enquête sur ses origines, son parcours et celui du poète. Dans cette fable noire à l’intersection du polar et du roman historique érudit (manière Le Nom de la rose, mais avec un verbe infiniment moins châtié : première phrase du livre : « Louie ôta son soutien-gorge et le jeta sur le cercueil »), Nick se rêvera, avec une mégalomanie aussi géniale que ridicule, en alter ego de Dante, le temps d’une vaste interrogation du Mal, de la Poésie et de la Création.

Petite précision qui vaut son pesant de missels : le titre original du livre est In the Hand of Dante. La traduction française aurait donc pu aussi bien donner Dans la main de Dante. Autant dire dans celle de Dieu.

Citation :

Résumé :

Comment réagiriez-vous en découvrant au fond du placard de votre salle de bains une rayonnante jeune femme ?
L'histoire de Lauren et Arthur défie la raison. Cette jeune femme blottie dans le placard d'Arthur l'architecte n'est pas vraiment là. Ou plutôt elle est là, mais seul Arthur peut la voir ; pourtant elle n'est ni un esprit ni un fantôme, et si elle semble joliment réelle, parle, râle et sourit, son véritable corps est au cinquième étage de l'hôpital de San Francisco, en état de coma dépassé.

Featherstone a toutes les apparences d’une petite ville comme les autres, avec son école, son terrain de jeux, son église, son hôtel, son pub, son bureau de poste, son agence bancaire et sa campagne environnante… Et puis voilà que l’air de rien, par un week-end de fin d’été, le retour d’une mystérieuse jeune femme à la présence évanescente va venir bouleverser la vie faussement tranquille de la paisible bourgade.
Après Pluie et Histoire aux yeux pâle, deux romans intimistes, Kirsty Gunn explore avec Featherstone de plus vastes territoires littéraires et humains. En donnant tour à tour la parole à divers personnages, aussi bien féminins que masculins, aussi bien jeunes que vieux, aussi bien citadins que ruraux, aussi bien charnels que spirituels, elle compose un superbe chant d’une richesse harmonique stupéfiante.
A travers le portrait en clair-obscur de cette ville où la plus grande bonté peut cohabiter avec la plus grande violence, Kirsty Gunn nous offre un portrait du genre humain, un portrait certes nuancé mais non dénué d’optimisme : sans mièvrerie ni religiosité, le dénouement du livre, habilement amené, semble indiquer qu’au bout du compte, par le pouvoir de l’amour qui imprègne toute chose, la rédemption est possible.

Traduit de l’anglais par Anouk Neuhoff

Citation :

Au début d’Une relation dangereuse, il y a comme un doute. L’impression de ne pas retrouver tout à fait le sens du rythme que Douglas Kennedy avait démontré dans ses précédents romans (dont Rien ne va plus, paru l’an dernier), son art de prendre le lecteur à la gorge pour ne plus le lâcher. Impression qui sera balayée: après la scène très réaliste d’un accouchement difficile, le récit s’emballe. Et l’on peine à lâcher les 400 pages de ce suspense impitoyable.
Cette relation est celle de l’Américaine Sally et de l’Anglais Tony. Journalistes, ils se rencontrent en Somalie. Coup de foudre: Sally s’installe à Londres avec celui qui devient son mari puis le père de son enfant. Leur histoire tourne alors au cauchemar. Une plongée dans l’enfer d’un couple se déchirant que décrit un Douglas Kennedy toujours aussi imaginatif, extraordinaire dans sa description des sentiments et impressions de cette mère perturbée. Américain vivant entre Paris et Londres, il excelle en outre à décrire avec humour les relations entre ses compatriotes et leurs cousins anglais.

Citation :

Une histoire que l'on vous raconte directement du paradis, ce n'est pas banal. Ce roman est l'un des plus originaux de la rentrée, pourtant le pari était risqué. La narratrice, Susie Salmon, a quatorze ans. Alors qu'elle rentre de l'école, elle est interpellée par son voisin. Sans se méfier, elle le suit. Il la viole, la tue, puis la découpe en morceaux avant d'enfouir les parties de son corps un peu partout dans la campagne. Ces faits insoutenables ne deviennent supportables que parce qu'ils sont racontés avec distance par la victime, montée au ciel dès sa mort. De là-haut, elle compatit au chagrin de sa famille et de ses amis, comprend combien il leur est difficile de continuer à vivre sans elle. Ce premier roman d'Alice Sebold est inspiré de sa vie puisqu'elle se fit violer lorsqu'elle avait vingt ans. Depuis des années elle tournait autour de cette histoire sans parvenir à l'écrire. Voilà qui est fait et très bien fait puisque son livre a déjà touché des centaines de milliers de lecteurs dans le monde

Freaks a écrit:

Le sommet des dieux - Taniguchi

Citation :

Rares sont les aventures en montagne racontées en BD. Si la littérature contemporaine regorge de récits épiques (souvent autobiographiques) de Frison Roche à Jon Krakauer, la BD a délaissé ce style, probablement en raison de la complexité à dessiner la montagne. Mais au final, on ne s'étonne pas que la tâche ait été acceptée par un dessinateur japonais, nation passée maître dans les scènes contemplatives. Et on s'étonnera encore moins Jirô Taniguchi soit l'auteur de cet ouvrage, lui qui est capable de faire un album complet sur un « homme qui marche ».

Mais, rien n'est dû au hasard. Se faisant probablement la même réflexion au sujet des prédispositions de Taniguchi, c'est Baku Yumemakura, l'auteur original du roman à succès «Kamigami no Itadaki » (Le sommet des dieux), qui est entré en contact avec le mangaka pour lui proposer l’adaptation de son roman.

En général je trouve les mangas laids et sans intérêt mais là, loin de "Dragon Ball" on touche au sublime, texte et image.

J'avais pas vu ton post. :ap1: J'adore aussi le sommet des dieux, c'est superbe.
J'ai lu d'autres livres de Jirô Taniguchi, je les trouves vraiment géniaux.

Citation :

L'inspecteur Harry Bosch surveille l'enlèvement des deux premiers cadavres de l'année nouvelle lorsque le sergent de garde au commissariat d'Hollywood l'informe qu'un humérus d'enfant vient d'être retrouvé dans les hauteurs de Laurel Canyon. Qui plus est, l'os porte des traces laissant entendre qu'il y aurait eu mauvais traitements répétés. Horrifié par la nouvelle - il n'y a rien de plus éprouvant que d'enquêter sur la mort d'un enfant -, Harry Bosch se rend sur les lieux de la découverte et s'aperçoit que l'enfant semble avoir été tout à la fois victime d'un assassinat prémédité et, contradisction majeure, enterré à la va-vite. Et pour corser la difficulté, l'affaire remonterait à une vingtaine d'années.

Désespérante au possible, la tâche qui l'attend pourait le devenir si Harry Bosch ne faisait alors la rencontre d'une jeune recrue éperdue d'admiration pour lui...

Il m'a l'air pas mal celui là, je le note quelque part.
Tu me diras ce que tu en penses.

Je connais bien l'auteur,c'est toujours le même héros donc jsais déjà que je vais aimer,tu peux te le procurer de suite

Je le note aussi celui-là.