La pleine lune éclairait la pièce de la maison dans laquelle se trouvaient de petit bancs destinés aux enfants qui étaient déja couchés depuis longtemps. La jeune femme, couchée sur un banc près de la fenêtre était fatigué après cette longue journée à travailler. La sueur coulait sur son front malgré le faible vent du soir, elle commençait juste à se rafraîchir. Elle avait passé sa journée dans la chaleur de la cuisine à faire de bons petits plats à manger mais dont la majorité irait sur le marché où son mari les vendrait afin de ramener quelques pièces pour nourrir leur famille composé d'un garçon de 9 ans ainsi que de deux filles, une de 15 ans et une de 7 ans. Klelv, l'homme de la maison ne devait pas tarder à rentrer. Comme tous les jours, il revenait du marché tard le soir car la ville se trouvait à une assez bonne distance de la maison de la petite famille Wolfe. Pour l'époque, leur famille était petite car normalement, les familles étaient composés de presque 10 enfants. Cela était du au status de leur famille. Klev était marchand et sa femme, Marianne, était une cuisinière hors pairs. Depuis son plus jeune âge, elle cuisinait les recettes connues mieux que personne et sa réputation n'était pas petite du tout. Ses plats se vendaient à plus de 20 pièces d'or et Klev était l'un des meilleurs marchands de leur petite île. Ils ne voulaient pas plus d'enfants car ils avaient peu de temps pour s'occuper d'eux. Ils devaient déja payer uen gardienne afin de s'occuper d'eux durant la semaine. Parfois, Marianne réussissait à passer du temps avec ses enfants lorsqu'elle travaillait plus durant la journée, un peu comme ce jour là.
La lune était encore brillante et une clée se fit entendre dans le verou de la porte. Marianne était trop fatigué pour se lever et saluer son mari. Elle resta donc couchée sur le banc. Klev entra comme à son habitude. Il accrocha sa veste sur un support et il suivit l'odeur du délicieux pain afin de trouver sa femme étendue sur le banc devant la fenêtre. Elle portait une jolie robe de femme de maison malgré le fait qu'elle avait cuisinée toute la journée. Sa robe était d'un vert léger et de blanc. Ses cheveux d'or étaient bouclés. Klev détacha sa chemise car il faisait un peu chaud dans la pièce. Il se mit au dessus de sa femme et le pris dans ses bras afin de l'embrasser. La notion du temps n'existait plus, les deux amoureux étaient maintenants enlacés et ils vivaient un moment exquis attendu toute la journée. Klev pouvait enfin embrasser sa femme. En ville, il pensait toujours à elle, la distance était grande entre eux et cela le fachait. Il ne tenait pas à déménager mais il aurai aimé que la ville se rapproche.
(Je voudrais savoir si je peu mettre de l'érotisme et peut être plus de détails durantl acte dans mon texte...???)
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