La prêtresse du Manoir

C'était pendant une nuit sans lune, sans étoile, sans lumière, en un mot, une nuit noire, encore plus noire qu'un corbeau. J'avais décidé de me promener dans la forêt mais la nuit m'avait rattrapé.
Cela faisait plus de deux heures que je m'étais perdu et mon imagination commençait à me jouer des tours… Les arbres prenaient vie et se transformaient en d'horribles et étranges créatures…
De plus, sans crier gare, un grondement terrifiant se fit entendre dans l'obscurité : c'était un orage qui se préparait. Les nuages se regroupèrent, la pluie commença à tomber et un éclair éblouissant déchira la nuit.
Je commençai à courir à l'aveuglette pour trouver refuge quelque part lorsqu'un éclair me montra une immense masse sombre. Je courus dans sa direction et me rendis compte qu'en réalité il s'agissait d'un grand manoir qui ne me paraissait pas très accueillant… Je me décidai malgré tout à demander asile à son propriétaire si je ne voulais pas dormir à la belle étoile et être foudroyé par la foudre.
J'arrivai devant un vieux portail en fer rouillé qui s'ouvrit pour me montrer un long chemin sinueux menant vers le manoir. Je pris une grande inspiration et avançai en direction de l'entrée. Plusieurs dizaines de mètres plus loin, je me retrouvai devant deux grandes portes en bois sculptées, ornées d'un heurtoir à tête de diable.
Je frappai et les immenses portes s'ouvrirent avec un grincement sinistre. Elles s'écartèrent lentement, regrettant chaque centimètre qu'elles m'abandonnaient. Je découvris une immense salle qui devait être le hall. Il était richement décoré, des tableaux ornaient les murs et un magnifique lustre en verre était suspendu au dessus de celui-ci alors qu'un grand escalier le dominant disparaissait dans les ténèbres.
Soudain, une douce voix me tira de mon éblouissement. Je vis avec stupeur et horreur à qui appartenait cette voix… A une très jeune et belle fille, habillée d'une belle robe qui semblait être assez vieille. Je remarquai que ses beaux cheveux châtains étaient remontés en chignon et deux petites mèches bouclées tombaient devant ses oreilles. Ce qui me fit horreur était son visage, il était très blanc : comme un cachet d'aspirine, sans vie, sans expression, livide… On aurait cru un zombie…
Elle me demanda ce que je voulais et lui répondis que je m'étais perdu et que je cherchait un abri pour la nuit. Elle me fit entrer et me demanda de l'attendre.
Je regardai, en attendant, le hall. Je découvris que le plafond était couvert de fresques, elles représentaient des scènes de chasses, de batailles, de joutes et de tournois. Malheureusement, tout cela était en piteux état. Je m'arrêtai soudain devant les tableaux qui ornaient les murs et qui, selon moi, représentaient les ancêtres du propriétaire de ce manoir. Ces portraits me firent froid dans le dos d'ailleurs, rien que d'y repenser, j'en ai la chair de poule.
Je vis dans leur regard, une flamme briller, elle grandit et je m'aperçus que leurs yeux étaient rouges, rouges sang. Je crus que ces personnages me regardaient, me suivaient du regard, qu'ils allaient sortir de leur tableau pour… AAAAAAAAAAAh !
Je sursautai, une main glaciale venait de me frôler. Je me retournai en tremblant de tous mes membres et découvris une merveille, une perle rare, la plus belle de toutes les femmes que j'ai eu l'honneur de rencontrer… Elle était d'une telle beauté qu'elle représentait, à mes yeux, un soleil illuminant ce sombre endroit. Elle avait de très beaux yeux bleus et une belle chevelure ondulée blanche. Elle portait une robe couleur crème qui flattait à merveille son teint de rose.
De sa bouche sortit un son doux et mélodieux me demandant de la suivre dans le salon. Je découvris une immense table en bois avec, à ses deux extrémités, deux couverts. Au milieu de celle-ci, un bouquet de roses noires trônait et un chandelier en argent d'où brillaient trois grandes bougies. En face se trouvait une cheminée où brûlait de milles éclats un feu.
Elle me montra une chaise à une extrémité où je m'assis quant à mon hôte, elle s'assit en face de moi. Elle frappa dans ses deux mains blanches et deux femmes apparurent dans le salon. Un homme arriva ensuite et s'installa à un clavecin que je n'avais pas remarqué jusque là. Malgré ses vêtements chiffonnés, l'homme ressemblait à un musicien. Les deux femmes, quant à elles, nous servaient le repas. C'était le meilleur repas que je n'avais jamais mangé de toute ma vie ! A la fin du repas, les servantes et le pianiste disparurent comme ils étaient apparus.
Mon hôte prit la parole…
- Je suis Larissa, prêtresse de ce manoir !
Sa voix enchanteresse m'avait hypnotisé comme Ulysse l'avait été par le chant des sirènes. Je voulus me présenter mais aucun son ne sortit de ma bouche.
- Je sais tout de toi Malken !
Je me demandais comment elle savait mon prénom mais, après tout, le principal était qu'elle le connaisse… En ne l'ayant que pensé, elle me fit visiter son manoir.
Les couloirs étaient petits et étroits. Ils étaient noirs, seules deux bougies tous les cinquante mètres les éclairaient. Au bout du plus sombre couloir se trouvait une grande porte en vieux bois d'où émanait une odeur fétide. Je lui demandai ce qu'il y avait d'intéressant et elle me répondit que c'était une ancienne prison. Je ne voulu pas en savoir plus.
Plus tard, elle me montra ma chambre. La porte s'ouvrit sur une pièce qui jadis avait dû être luxueuse. Les draps brodés du lit étaient pourris, le baldaquin rongé par les mites… Une fenêtre, à demi obstruée par un rideau de velours rouge, laissait entrer les rayons de la lune. Je fus surpris par cette lune qui paraissait invisible dans la forêt. Elle était sûrement apparue pendant le repas. La pluie avait cessé de tomber mais j'entendais toujours gronder le tonnerre et les éclairs étaient toujours présents. Malgré l'état du lit, je décidai à me coucher mais ne pus trouver le sommeil. Je repensais à cette pièce fétide et malgré ce que mon hôte m'avait dit, je me levai et allai voir cette pièce de plus près…
Je mis un certain temps à la retrouver car ce manoir était un vrai labyrinthe. Quand je la trouvai enfin, je voulus ouvrir la porte mais, elle était fermée. J'avais beau tourner la clef, elle resta close. Elle était certainement protégée par une force mystérieuse…
J'entendis des pas dans le couloir et je ne sais pour quelles raisons, je voulus me cacher. Heureusement pour moi, une petite niche avait été creusée dans le mur à l'est de la porte maléfique. Larissa arriva et s'arrêta devant. Elle murmura quelques mots incompréhensibles et la porte s'ouvrit. Elle s'enfonça dans l'obscurité la plus complète.
Remarquant que la porte allait se refermer je courus à l'intérieur. L'odeur était encore plus forte qu'à l'extérieur. Je ne pouvais supporter cette odeur mais ayant la curiosité comme gros défaut, je décidai de continuer mon chemin.
Donc, derrière cette porte, se trouvait un long couloir sombre. Celui-ci déboucha sur une grande pièce. Plusieurs bougies illuminaient cet endroit étrange. Il y avait différentes tables où des produits chimiques avaient été laissés là depuis nombres d'années. Une couche très épaisse de poussières était sur tous les établis. Aucune femme de ménage n'avait passé le balaie depuis un bon bout de temps… Je ne trouvai nulle part mon hôte Larissa mais, je vis une grande bibliothèque remplie de livres. Je regardai ces vieux ouvrages poussiéreux et je vis qu'un livre était propre, sans poussières et qui ne portait pas de titre. Curieux comme je suis, je pris le livre et commençai à le lire…
Quelques heures plus tard, je découvris que Larissa avait été mariée. Son mari avait essayé de la tuer car il avait découvert qu'elle aimait secrètement son frère. Je compris que ce livre était le journal intime de Larissa. Ella avait aussi écrit que son mari avait tué celui qu'elle aimait.
Une voix me surpris mais cette voix n'était pas la douce et belle voix de Larissa, celle-là était plus rude et dure ! Je me retournai et je vis un homme, avec un visage ferme malgré sa blancheur. Ses yeux étaient rouges sang, je l'avais déjà vu quelque part… Je savais ! C'était l'homme du tableau, et selon moi, c'était le mari de Larissa.
Je vis à sa main droite qu'il tenait un couteau. Je ne savais pas quoi faire et je découvris un coupe papier. Je ne sais comment, je le pris et l'enfonça dans le corps de l'homme qui s'effondra aussitôt. Son corps disparut en ne laissant que ses vêtements.
Larissa apparut et deux petites larmes coulèrent aux coins de ses yeux. Elle ramassa les vêtements et me remercia de tout son cœur.
- Merci de m'avoir libéré.
La pièce autours de moi commença à danser, Larissa paraissait floue…
D'un seul coup ce fut le noir total. Quand je rouvris mes yeux, il faisait beau, c'était le jour et j'étais à l'entrée de la forêt.
Je ne compris pas ce qui c'était passé. Je crus que c'était un rêve mais, à la vue du journal de Larissa, je me mis à croire que c'était bien réel. Je décidai de ne parler de cette histoire à personne car je savais pertinemment que tout le monde me rirait au nez.
Le lendemain, je voulus retrouver le manoir et mon hôte mais n'en trouvai aucune trace. De plus, je découvris plus tard, que Larissa avait été poignardée avec le frère de son mari car celui-ci les avait surpris ensemble…

FIN

Voilà, j'ai corrigé mes fautes

Voilà j'ai joué à l'éditrice :ptdr: :ptdr: :ptdr: L'histoire est bien trouvée mais me suis permis de faire qqs corrections pis y'a des fautes d'ortho aussi mais j'aime bien,j'ai bien aimé le lire

Pollux a écrit:

C'était pendant une nuit sans lune, sans étoile, sans lumière, en un mot, une nuit noire, encore plus noire qu'un corbeau. J'avais décidé de me promener dans la forêt mais la nuit m'avait rattrapé.
Cela faisait plus de deux heures que je m'étais perdu et mon imagination commençait à me jouer des tours… Les arbres prenaient vie et se transformaient en d'horribles et étranges créatures…
De plus, sans crier gare, un grondement terrifiant se fit entendre dans l'obscurité : c'était un orage qui se préparait. Les nuages se regroupèrent, la pluie commença à tomber et un éclair éblouissant déchira la nuit.
Je commençai à courir à l'aveuglette pour trouver refuge quelque part lorsqu'un éclair me montra une immense masse sombre. Je courus dans sa direction et me rendis compte qu'en réalité il s'agissait d'un grand manoir qui ne ma paraissait pas très accueillant… Je me décidai malgré tout à demander asile à son propriétaire si je ne voulais pas dormir à la belle étoile et être foudroyé par la foudre.
J'arrivai devant un vieux portail en fer rouillé qui s'ouvrit pour me montrer un long chemin sinueux montant vers le manoir. Je pris une grande inspiration et avançai en direction de l'entrée. Plusieurs dizaines de mètres plus loin, je me retrouvai devant deux grandes portes en bois sculptées, ornées d'un heurtoir à tête de diable.
Je frappai et les immenses portes s'ouvrirent avec un grincement sinistre. Elles s'écartèrent lentement, regrettant chaque centimètre qu'elles m'abandonnaient. Je découvris une immense salle qui devait être le hall. Il était richement décoré, des tableaux ornaient les murs et un magnifique lustre en verre était suspendu au dessus de celui-ci (pas trés clair jtrouve)alors qu'un grand escalier le dominant disparaissait dans les ténèbres.
Soudain, une douce voix me tira de mon éblouissement. Je vis avec stupeur et horreur à qui appartenait cette voix. Elle appartenait à une très jeune et belle fille. Elle était habillée d'une belle robe qui semblait être assez vieille. Je remarquai que ses beaux cheveux châtains étaient remontés en chignon et deux petites mèches bouclées tombaient devant ses oreilles. Ce qui me fit horreur était son visage, il était très blanc, comme un cachet d'aspirine, sans vie, sans expression, livide… On aurait cru un zombie…
Elle me demanda ce que je voulais et "je" non? lui répondit que je m'étais perdu et que je cherchai un abri pour la nuit. Elle me fit entrer et me demanda de l'attendre.
Je regardai, en attendant, le hall. Je découvris que le plafond était couvert de fresques, elles représentaient des scènes de chasses, de batailles, de joutes et de tournois. Malheureusement, tout cela était en piteux état. Je m'arrêtais soudain devant les tableaux qui ornaient les murs et qui, selon moi, représentaient les ancêtres du propriétaire de ce manoir. Ces portraits me firent froid dans le dos d'ailleurs, rien que d'y repenser, j'en ai la chair de poule.
Je vis dans leur regard, une flamme briller, elle grandit et je m'aperçus que leurs yeux étaient rouges, rouges sang. Je crus que ces personnages me regardaient, me suivaient du regard, qu'ils allaient sortir de leur tableau pour… AAAAAAAAAAAh !
Je sursautai, une main glaciale venait de me frôler. Je me retournai en tremblant de tous mes membres et découvris une merveille, une perle rare, la plus belle de toutes les femmes que j'ai eu l'honneur de rencontrer… Elle était d'une telle beauté qu'elle représentait, à mes yeux, un soleil illuminant ce sombre endroit. Elle avait de très beaux yeux bleus et une belle chevelure ondulée blanche. Elle portait une robe couleur crème qui flattait à merveille son teint de rose.
De sa bouche sortit un son doux et mélodieux me demandant de la suivre dans le salon. Je découvris une immense table en bois avec, à ses deux extrémités, deux couverts. Au milieu de celle-ci, un bouquet de roses noires trônait et un chandelier en argent d'où brillaient trois grandes bougies. En face se trouvait une cheminée où brûlait de milles éclats un feu.
Elle me montra une chaise à une extrémité où je m'assis quant à mon hôte maladroit jtrouve, elle s'assit en face de moi. Elle frappa dans ses deux mains blanches et deux femmes apparurent dans le salon. Un homme arriva ensuite et s'installa à un clavecin que je n'avais pas remarqué jusque là. Malgré ses vêtements chiffonnés, l'homme ressemblait à un musicien. Les deux femmes, quant à elles, nous servaient le repas. C'était le meilleur repas que je n'avais jamais mangé de toute ma vie ! Quand il fut finit, les servantes et le pianiste disparurent comme ils étaient apparus.
Mon hôte prit la parole…
- Je suis Larissa, prêtresse de ce manoir !
Sa voix enchanteresse m'avait hypnotisé comme Ulysse avait été hypnotisé par le chant des sirènes. Je voulus me présenter mais aucun son ne sortit de ma bouche.
- Je sais tout de toi Malken !
Je me demandai comment elle savait mon prénom mais, après tout, le principal était qu'elle le connaisse… En ne l'ayant que pensé veut dire quoi?? , elle me fit visiter son manoir.
Les couloirs étaient petits et étroits. Ils étaient noirs, seules deux bougies tous les cinquante mètres les éclairaient. Au bout du plus sombre couloir se trouvait une grande porte en vieux bois d'où émanait une odeur fétide. Je lui demandai ce qu'il y avait d'intéressant et elle me répondit que c'était une ancienne prison. Je ne voulu pas en savoir plus.
Plus tard, elle me montra ma chambre. La porte s'ouvrit sur une pièce qui jadis avait dû être luxueuse. Les draps brodés du lit étaient pourris, le baldaquin rongé par les mites… Une fenêtre, à demi obstruée par un rideau de velours rouge, laissait entrer les rayons de la lune. Je fus surpris par cette lune qui paraissait invisible dans la forêt. Elle était sûrement apparue pendant le repas. La pluie avait cessé de tomber mais j'entendais toujours gronder le tonnerre et les éclairs étaient toujours présents. Malgré l'état du lit, je décidai à me coucher mais ne pus trouver le sommeil. Je repensai à cette pièce fétide et malgré ce que mon hôte m'avait dit, je me levai et j'allai voir cette pièce de plus près…
Je mis un certain temps à la retrouver car ce manoir était un vrai labyrinthe. Quand je la trouvais enfin, je voulus ouvrir la porte mais, elle était fermée. J'avais beau tourner la clef, elle resta close. Elle était certainement protégée par une force mystérieuse…
J'entendis des pas dans le couloir et je ne sais pour quelles raisons, je voulus me cacher. Heureusement pour moi, une petite niche avait été creusée dans le mur à l'est de la porte maléfique. Larissa arriva et s'arrêta devant. Elle murmura quelques mots incompréhensibles et la porte s'ouvrit. Elle s'enfonça dans l'obscurité la plus complète.
Remarquant que la porte allait se refermer je courus à l'intérieur. L'odeur était encore plus forte qu'à l'extérieur. Je ne pouvais supporter cette odeur mais ayant un gros défaut étant la curiosité pas Français ça!lol je décidai de continuer mon chemin.
Donc, derrière cette porte, se trouvait un long couloir sombre. Celui-ci déboucha débouchait plutot non? sur une grande pièce. Plusieurs bougies illuminaient cet endroit étrange. Il y avait différentes tables où des produits chimiques avaient été? étaient laissés là depuis pas mal d'années. Une couche très épaisse de poussières était sur tous les établis. Aucune femme de ménage n'avait passé le balaie depuis un bon bout de temps… Je ne trouvai nulle part mon hôte Larissa mais, je vis une grande bibliothèque remplie de livres. Je regardai ces vieux ouvrages poussiéreux et je vis qu'un livre était propre, sans poussières et qui ne portait pas de titre. Curieux comme je suis, je pris le livre et commençai à le lire…
Quelques heures plus tard, je découvris que Larissa avait été mariée. Son mari avait essayé de la tuer car il avait découvert qu'elle aimait secrètement son frère. Je compris que ce livre était le journal intime de Larissa. Ella avait aussi écrit que son mari avait tué celui qu'elle aimait.
Une voix me surpris mais cette voix n'était pas la douce et belle voix de Larissa, celle-là était plus rude et dure ! Je me retournai et je vis un homme, avec un visage ferme malgré sa blancheur. Ses yeux étaient rouges sang, je l'avais déjà vu quelque part… Je savais ! C'était l'homme du tableau, et selon moi, c'était le mari de Larissa.
Je vis à sa main droite qu'il tenait un couteau. Je ne savais pas quoi faire et je découvris un coupe papier. Je ne sais comment, je le pris et l'enfonça l'enfonçai? dans le corps de l'homme qui s'effondra aussitôt. Son corps disparut ne laissant que ses vêtements.
Larissa apparut et deux petites larmes coulèrent aux coins de ses yeux. Elle ramassa les vêtements et me remercia de tout son cœur.
- Merci de m'avoir libéré.
La pièce autours de moi commença à danser, Larissa paraissait floue…
D'un seul coup se fut le noir total. Quand je rouvris mes yeux, il faisait beau, c'était le jour et j'étais à l'entrée de la forêt.
Je ne compris pas ce qui c'était passé. Je crus que c'était un rêve mais, à la vue du journal de Larissa, je me mis à croire que c'était bien réel. Je décidai de ne parler de cette histoire à personne car je savais pertinemment que tout le monde me rirait au nez.
Le lendemain, je voulus retrouver le manoir et mon hôte mais n'en trouvai aucune trace. De plus, je découvris plus tard, que Larissa avait été poignardée avec le frère de son mari car celui-ci les avait surpris ensemble…

FIN

disons que je me sui pris la tête pour le recopier @_@
Pas vu toutes les fautes et c'est vrai qu'il ya des ré^pétitions mais pour "foudroyé" je ne vois pas...

Ben "foudroyé par le foudre" ça fait beaucoup;"foudroyé" tout court ça suffit ;)

vivi j'ai vu :roll:
J'ai corrigé mes fautes lol

:prif:

Très agréable lecture. Merci !

Citation :

Sa voix enchanteresse m'avait hypnotisé comme Ulysse avait été hypnotisé par le chant des sirènes

Comme Ulysse l'avait été serait mieux

Citation :

Son corps disparut ne laissant que ses vêtements

Mets au moins une virgule

Citation :

la pluie commença à tomber

Hé tu me met ca a l'imparfait s'teuplé !

Citation :

grand manoir qui ne ma paraissait pas très accueillant…

Y'a une faute là !

Citation :

un vieux portail en fer rouillé qui s'ouvrit pour me montrer un long chemin sinueux montant vers le manoir

Menant au manoir serait plus joli (ran le chieur !)

Citation :

Ce qui me fit horreur était son visage, il était très blanc, comme un cachet d'aspirine, sans vie

Remplace la virgule après visage par deux points

Citation :

et que je cherchai un abri pour la nuit.

Faut mettre un S a chercher, faut l'imparfait pas le passé simple

Citation :

Je repensai à cette pièce fétide

Idem !

Citation :

Je m'arrêtais soudain devant les tableaux

Là par contre c'est l'inverse

Citation :

Quand je la trouvais enfin,

Idem

Citation :

Elle avait de très beaux yeux bleus et une belle chevelure ondulée blanche.

Une cheveulure blance ondulée sonne mieux

Citation :

je me levai et j'allai voir cette pièce de plus près…

Je me levai et allai, idem ^^

Citation :

Quand il fut finit

Dur a prononcer

Citation :

où des produits chimiques avaient été? étaient laissés là depuis pas mal d'années

Depuis nombre d'années non ?

Citation :

D'un seul coup se fut le noir total

CE fut :langue:


Mis a part ca je peux être aussi chiant qu'Erinn ( :langue: :langue: ), et ca m'a bien plut. A quand la prochaine ? :prif:

Pff encore plein de fautes à corriger... Heureusement que je me relis... Et les fautes de frappes... Ralala...
Faut que je fâsse attention pour la prochiane sinon vai me faire décalquer...
Je corrigerais plus tard :p

Merci en tout cas pour vos remarques

Pollux a écrit:

Pff encore plein de fautes à corriger... Heureusement que je me relis...

Relire, ca a l'air de te réussir dis moi

Pollux a écrit:

Faut que je fâsse attention pour la prochiane sinon vai me faire décalquer...

Ouais hein, c'est nous qui passons 3/4 d'heure a te corriger, heureusement je suis patient !

( :langue: :langue: :langue: )

Allez une autre, une autre ! :prif:

Tss pas beau ! :langue: :langue: :langue:

C'est pas faute d'avoir déjà fais remarquer... :langue: Enfin, Toujours bien

Maieuh >_< :langue:

J'ai de nouveau corrigé sauf quelques verbes qui me semble correctes (j'ai remplacé "je" par "il")

J'ai commencé un roman aussi... Vous voulez une mise en bouche ? (Bon, ça ne sera qu'une mise en bouche... :lol: :roll: )

On veut!!!!!!!!!! :prif:

Ouias on veut ! :prif: :prif: :prif:

:prif: C'est super Pollux, j'ai adoré. Et ne t'en fait pas pour les fautes, plein d'écrivains avouent en faire. Vive les correcteurs d'orthographe !

Tortue a écrit:

t'en fait pas pour les fautes, plein d'écrivains avouent en faire.

Ouais, et les autres sont de mauvaise foie !

Raziel a écrit:

Tortue a écrit:

t'en fait pas pour les fautes, plein d'écrivains avouent en faire.

Ouais, et les autres sont de mauvaise foie foi !

:mdr1: :mdr1: Vous voyez, tout le monde fait des fôtes ! :prif:

tous leuh mond phé des fotes d'ortaugrafes ! :prif:

tous leuh mond sof mouâ ! :prif: :prif:

:mdr1:

lol

Très bon texte! quand on commence la lecture, on veux aller au bout pour en connaitre la fin.

Pour ce qui est de l'orthographe, c'est pas grave. Moi j'écri aussi et pourtant j'suis nul en orthographe. Le principal, c'est de savoir imaginer une histoire qui tien le lecteur en haleine. Pour le reste il y a la correction automatique sur "word". Après ta plus qu'à faire un copier/coller.

Pour le roman que tu a commencé, atention!!! Si tu le met sur le net, tu risque de te faire piquer l'idée.
Je te conseil plutot de le finir et après d'en déposer les droits d'auteur. Sinon, tu n'aurras aucun recour aux yeux de la loi.

Quoi qu'il en soit, tu à de l'idée et du talent. Continu comme ca, tu es sur la bonne voie.

Merci Bleck :bis3:

Je me doute bien que tu as raison mais en même temps c'est pour avoir un avis dessus... Bon, je demanderais qui veut le lire alors ^^